On ne médiatise la maison passive que depuis quelques années en Belgique. Pourtant, cela plusieurs dizaines d’années que ce genre de construction a vu le jour dans nos régions. Les pionniers de ces maisons en bois ont commencé à s’y intéresser dès les années 60. A cette époque, ce type d’habitation été déjà monnaie courante dans les régions où les climats étaient plus rudes. On trouvait des construction en bois pour les chalets dans les alpages par exemple ou encore dans les pays nordiques. En Belgique, par contre, ces maisons étaient encore marginales.
Tout a vraiment commencé dans les 70’s
A partir de 1970, les maison en bois ont commencé à pousser en Belgique. On ne parle pas encore de mode mais de plus en plus de particuliers décident de se tourner vers ce genre de construction. Et plus les années passent, plus les technologies et les outils permettent d’améliorer la qualité de ces maisons. Dans les années 80, un nouveau système voit le jour, il s’agit du « système paysagère ». Ce système permet une meilleure isolation et on voit alors apparaître les maison basse énergie.
Les maisons passives aujourd’hui
Aujourd’hui, les maisons à ossature bois sont appelées « canadiennes ». Elles découlent de touts les expérimentations et de toutes les techniques qui ont été améliorées au fil du temps. L’ossature bois permet aujourd’hui de construire des maisons passives. Celles-ci ont le grand avantage d’offrir à leurs habitants une température agréable tout au long de l’année et cela sans l’aide d’un système de chauffage conventionnel. En effet, grâce à son isolation et à sa structure, la maison passive n’a besoin que des apports calorifiques de ses habitants, des appareils électroménagers qui se trouvent dans la maison et des rayons du soleil.
La maison passive permet dès lors de réaliser d’énormes bénéfices sur les factures énergétiques mais elle rejette également moins de CO2 dans la nature qu’une maison normale.
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